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Témoignage de Philippe

Philippe, Responsable technique anticollision, chez Ascorel® depuis 35 ans.

Que voulais-tu faire plus tard, quand tu étais petit ?

Quand j’étais petit je voulais travailler dans la mécanique sur tout ce qui était embarqué… sur les voitures, les camions…

Comment es-tu arrivé chez ASCOREL® ?

J’avais fait un stage chez ERAIN par l’intermédiaire de mon oncle qui y travaillait. Quelques années plus tard, le directeur technique de la société Erain a créé la société Ascorel®. A la sortie de cursus scolaire, j’ai postulé chez Ascorel® ou j’ai été embauché.

Est-ce que tu aurais pensé rester travailler ici ?

Pas du tout. Je ne me destinais pas à rester pendant 35 ans dans la même société mais l’aventure est si belle… Une des raisons qui a fait que je suis resté chez Ascorel® a été l’écoute car j’ai eu la chance de pouvoir accéder aux postes que j’avais postulé (ou qu’on m’avait proposé) pour arriver là où je suis actuellement…

Pourquoi penses-tu être resté autant de temps ?

Parce qu’il y a toujours des sujets nouveaux, on ne s’ennuie pas. On est assez libre dans nos champs d’actions. Ascorel® est une société novatrice qui donne envie de s’investir et d’y rester.

Que faisais tu à tes débuts chez Ascorel® ?

A mes débuts chez Ascorel®, j’étais câbleur, puis quelques mois après mon retour du service militaire, je me suis vu confier la responsabilité du service production jusqu’en 2012. De 2012 à 2018, j’étais au support technique des produits MC 320 pour les grues mobiles, de l’anticollision sur grues à tour, et également sur la partie mobile automation avec les constructeurs d’échelles et de nacelles élévatrices. De 2018 à 2023, j’ai intégré le service commercial en tant que commercial anticollision France. J’étais en charge du développement commercial des systèmes anticollision sur la France et en charge de l’animation du réseau Manitowoc à travers le monde.

Depuis janvier 2024, je suis de retour au service technique en tant que responsable technique anticollision et radio-commande.

Comment décrirais-tu une de tes journées de travail en tant que responsable technique anticollision ?

Mes Journées de travail sont assez denses. Elles sont alternées entre les différents points techniques internes, les sollicitations clients, l’organisation des déplacements de mon équipe…

Tu es amené à te déplacer dans le cadre de tes missions. Quel est ton meilleur souvenir de vadrouille ?

Chaque déplacement est une porte vers l’aventure… chaque déplacement a son charme et son anecdote…

Pendant mes années de technicien, j’ai pu voir des baleines passer au milieu des plateformes pétrolières au Congo… J’ai travaillé sur la plus grosse barge du monde au Congo… J’ai fait de l’hélicoptère pour aller sur une plateforme au Nigéria… Je suis allé au Gabon pour régler une grue, mais surprise, à mon arrivée elle était en pièces détachées… J’ai été sur une grue à Toulon où j’ai vu de très près le porte avion Charles de Gaule… Lorsque l’on travaille sur des grues, chaque point de vue en haut de celles-ci laisse un panorama insolite à chaque fois !

Quel est ton futur grand challenge ?

Mon challenge a déjà débuté en janvier avec mon nouveau poste et mon retour au service technique. Je dois satisfaire l’ensemble des demandes techniques des clients anticollision.

Qu’est ce qui te plait dans l’anticollision ?

Je vie un rêve tous les jours, j’aime ce que je fait… Le développement de l’activité anticollision Ascorel® en France est un chalenge qui me plait au quotidien… Les gens que je rencontre viennent de parcours parfois complètement différents mais tous animés par la même passion qui est la grue ou ses périphéries comme l’anticollision.

La grue ainsi que les systèmes anticollisions sont des domaines variés, qui évoluent très vite, il faut sans cesse être curieux des évolutions…

Chez Ascorel® comment décrirais tu l’ambiance de travail ?

Je pense que la réussite d’Ascorel® est due à la qualité des salariés et à l’entraide entre les services. Nous avons tous des parcours et des caractères différents mais nous pouvons compter sur nos collègues quand le besoin se fait ressentir.

Merci Philippe

Date : 02/2024