Témoignage de Philippe
Philippe, commercial anticollision, ancien expert technique chez Ascorel depuis plus de 30 ans.
Que voulais-tu faire plus tard, quand tu étais petit ?
Quand j’étais petit je voulais travailler dans la mécanique sur tout ce qui était embarqué… sur les voitures, les camions…
Comment es-tu arrivé chez ASCOREL ?
J’avais fait un stage chez ERAIN par l’intermédiaire de mon oncle qui y travaillait. Quelques années plus tard, le directeur technique de la société Erain a créé la société Ascorel. A la sortie de cursus scolaire, j’ai postulé chez Ascorel ou j’ai été embauché.
Est-ce que tu aurais pensé rester travailler ici ?
Pas du tout. Je ne me destinais pas à rester pendant 33 ans dans la même société mais l’aventure est si belle… Une des raisons qui a fait que je suis resté chez Ascorel a été l’écoute car j’ai eu la chance de pouvoir accéder aux postes que j’avais postulé (ou qu’on m’avait proposé) pour arriver là où je suis actuellement…
Pourquoi penses-tu être resté autant de temps ?
Parce qu’il y a toujours des sujets nouveaux, on ne s’ennuie pas. On est assez libre dans nos champs d’actions. Ascorel est une société novatrice qui donne envie d’y travailler et d’y rester.
Que faisais tu à tes débuts chez Ascorel ? Tu es resté pendant 30 ans au service commercial ?
A mes débuts chez Ascorel, j’étais câbleur, puis quelques mois après mon retour du service militaire, je me suis vu confier la responsabilité du service production jusqu’en 2012. De 2012 à 2018, j’étais au support technique des produits MC 320 pour les grues mobiles, de l’anticollision sur grues à tour, et également sur la partie mobile automation avec les constructeurs d’échelles et de nacelles élévatrices. Depuis 2018, j’ai intégré le service commercial et depuis mars 2021, je suis en charge du développement commercial des systèmes anticollision sur la France et en charge de l’animation du réseau Manitowoc à travers le monde.
Comment décrirais-tu une de tes journées de travail en tant que commercial anticollision ?
Mes Journées de travail sont variables et très denses, il m’arrive fréquemment de partir à 3h-4h ou 5h du matin et/ou de rentrer au milieu de la nuit. Mes journées sont alternées entre mes rendez-vous clientèles, par le démarchage auprès de prospects, la rédaction de devis, de compte rendu…
Tu es amené à te déplacer dans le cadre de tes missions. Quel est ton meilleur souvenir de vadrouille ?
Chaque déplacement est une porte vers l’aventure… chaque déplacement a son charme et son anecdote…
Pendant mes années de technicien, j’ai pu voir des baleines passer au milieu des plateformes pétrolières au Congo… J’ai travaillé sur la plus grosse barge du monde au Congo… J’ai fait de l’hélicoptère pour aller sur une plateforme au Nigéria… Je suis allé au Gabon pour régler une grue, mais surprise, à mon arrivée elle était en pièces détachées… J’ai été sur une grue à Toulon où j’ai vu de très près le porte avion Charles de Gaule…
Depuis mes débuts dans le service commerciale, les paysages sont moins exotiques mais plus enrichissants humainement…
Quel est ton futur grand challenge ?
Mon plus grand challenge a déjà débuté en mars 2021. Il est de développer l’activité anticollision Ascorel partout en France. Pour cela, je dois animer tous nos distributeurs et nos clients grands comptes. Mon objectif est qu’il y ait des produits Ascorel sur toutes les grues pour assurer la sécurité des chantiers et que nos clients soient satisfaits de nos services.
Qu’est ce qui te plait dans l’anticollision ?
Je vie un rêve tous les jours, j’aime ce que je fait… Le développement de l’activité anticollision Ascorel en France est un chalenge qui me plait au quotidien… Les gens que je rencontre viennent de parcours parfois complètement différents mais tous animés par la même passion qui est la grue ou ses périphéries comme l’anticollision.
La grue ainsi que les systèmes anticollisions sont des domaines variés, qui évoluent très vite, il faut sans cesse être curieux des évolutions…
Chez Ascorel comment décrirais tu l’ambiance de travail ?
Je pense que la réussite d’Ascorel est due à la qualité des salariés et à l’entraide entre les services. Nous avons tous des parcours et des caractères différents mais nous pouvons compter sur nos collègues quand le besoin se fait ressentir.
Merci Philippe
Date : 01/2022